L’une des plus éminents biophysiciennes du Canada

En collaboration avec le Dr Harold E. Johns, Sylvia Fedoruk, alors physicienne médicale en chef de la Fondation canadienne du cancer de la Saskatchewan, fut au nombre des quatre chercheurs qui contribuèrent à la création du premier scanneur nucléaire ainsi que d’un appareil de traitement du cancer au cobalt 60 (la « bombe au cobalt »), appareil qui lança le traitement curatif du cancer au cobalt radioactif de haute intensité chez l’humain.

Un chercheur canadien renommé et un expérimentateur ingénieux
 

Un pionnier dans le traitement du cancer au Canada

Un exemple inspirant

Pionnier de la recherche sur les hormones et du traitement du cancer

Un pionnier de la recherche biomédicale

De concert avec son collègue James E. Till, Ernest McCulloch crée la première méthode quantitative clonale qui identifie les cellules souches et utilise cette technique novatrice pour lancer l’étude de celles-ci. Dans le but notamment de fournir des renseignements détaillés sur le développement des globules sanguins, ils établissent le concept de cellules souches et mettent en place la structure, encore utilisée de nos jours, qui permet de les étudier.

Un chef de file révolutionnaire en biologie cellulaire

Ses études innovatrices sont axées sur les signaux transmis entre les cellules du corps humain et leur modèle de communication. En comprenant la communication cellulaire, les scientifiques peuvent discerner la façon dont le modèle se « désintègre » dans des conditions telles les maladies cardiaques et les déficiences du système immunitaire.

Un éducateur inspirant et un pionnier de la recherche sur le cancer

Le Dr Gold et son collègue, le Dr Samuel Freedman, ont fait la découverte révolutionnaire de l’antigène carcinoembryonnaire (ACE), le premier marqueur de tumeur humaine cliniquement utile et qui se retrouve chez 70 % des patients atteints de cancer.

Une personnalité marquante en biologie moléculaire et cellulaire

En 1984, Tak Wah Mak a résolu l’un des problèmes les plus difficiles en immunologie, celui de la structure du récepteur d’antigènes des lymphocytes T, dont la nature était auparavant inconnue. En fait, on croyait que le récepteur des lymphocytes T constituait une forme inhabituelle d’anticorps.

Pionnier de la thérapie génique et de la recherche sur le cancer